Les entreprises déploient des efforts
considérables pour attirer
et retenir leurs talents, mais les attentes des salariés
deviennent plus claires et tranchées…
« Plus personne ne veut travailler en restauration, quelle qu’elle soit. Aujourd’hui, ce n’est plus seulement l’attractivité de l’entreprise qui est en jeu, c’est l’attractivité de la branche dans tout son ensemble.«
« Les difficultés de recrutement n’ont jamais été aussi intenses. Avant, on avait du volume mais pas les candidatures adaptées. Aujourd’hui, on n’a même plus de volume, on n’a pas de CV tout court. »
« Par rapport aux horaires. On nous demande de ne pas travailler les week-end. C’est classique mais difficile à entendre.«
« Aujourd’hui, on privilégie un maximum la mobilité et l’évolution internes parce qu’on abandonne un peu sur le recrutement à l’externe. »
« On a une clientèle de plus en plus difficile. La clientèle a toujours été très exigeante mais le rapport avec nos équipes aujourd’hui est très rude, beaucoup plus rude qu’avant. Une clientèle qui attend tout.«
« On n’a plus les hommes et les femmes pour pouvoir travailler pour une enseigne qui est ouverte 7 jours sur 7, pour la plupart en continu toute la journée… Ça remet pas mal de choses en question.«
« Les jeunes, les talents d’aujourd’hui ne cherchent plus forcément des missions, ils cherchent du confort d’entreprise, ils cherchent des entreprises avec de vraies valeurs. Ils cherchent une entreprise jeune. »
« L’humain, pour moi, ça reste au cœur de toutes les préoccupations. Parce que sans humain, sans personnel, on ne peut rien produire. »
« Placer les bons Hommes aux bons endroits, c’est écouter les équipes qui sont sur le terrain depuis longtemps. »
« On a besoin de moments d’échanges, de partage, d’écouter nos collaborateurs, de les rémunérer en fonction de leurs diplômes, de leur vraie valeur, de leur engagement !«
« Par souci de sobriété énergétique, les industriels ferment maintenant un jour par semaine, ça nous a changé
l’organisation. On a dû réorganiser le temps de travail de sorte que nos équipes fassent leurs horaires sur 4 jours. Ce qui n’est pas pour leur déplaire !«